Le début de l’aventure …

Beaucoup parle de permaculture, aujourd’hui, c’est une mode récente et très en vogue, mais peu savent la définir.

De nombreux articles parlent de méthodes globales, une démarche philosophique, et le bus, est de prendre soin de la nature.

Voilà une intro pour dire pas grand chose.

Les grands principes où je ne vois que des avantages

On évoque souvent la culture en butte :

Dès le début, j’ai choisi d’installer des cadres fait avec des planches de coffrages pour permettre une délimitation pérenne, esthétique et facile à entretenir.

A même le sol engazonné, pour commencer, une couche de carton gris dépouillés de tout scotch et matières plastiques couvrent les espaces encadrés. Par dessus, des rondins de bois pourrissants, ramassés en forêt sont étalés, ensuite, j’ai empilé par couches successives de déchets organiques azotés (de l’herbes coupées par exemple) et carbonées (déchets végétaux ménagers, bois secs broyés, pailles, cartons). On nomme cette technique une culture en lasagne.

Le besoins en quantité de matières végétales a résolus mon problème de réutilisation de mon stock de compost accumulée par les tailles, les désherbages des massifs et les déchets de cuisine, papiers et cartons recyclables.

Pas de sol nu. La permaculture incite à ne jamais laisser la terre nue :

Toujours pour terminer de remplir les cadres, j’ai étalé un paillage organique, un compostage de surface. Il limite l’évaporation de l’eau et conserve un sol frais, ce qui permet une économie en arrosages, évitant alors l’érosion et le lessivage de sol par le ruissellement des eaux de pluie. Par ailleurs il freine le développement des mauvaises herbes et adventices.

Un potagers pour fainéants :

Je ne bêche, ni piétine les planches de terre de culture.

Le plus contraignant est bien le travail de la terre. Or, labourer, retourner le sol, bouleverse les couches qui ont, chacune, leurs particularités et abritent des êtres vivants tel que champignons, insectes, vers de terres, acariens, et autre micro-organismes transforment les déchets organiques en humus et permettent les échanges gazeux. C’est autant de travail en moins.

Carré cultivé en permaculture
Un espace bien délimité d'une culture en permaculture
La permaculture prend de l'ampleur au Manoir

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